Memorial Tour (ePub)

Le devoir de mémoire de la Shoah, nous protège-t-il contre la barbarie ? Un couple sans histoire part en voyage organisé, une surprise que fait Patrice à sa femme Hélène. Un matin, deux hommes viennent les chercher. Dans le véhicule qui les emmène jusqu'au lieu de départ, ils font la connaissance d'un couple plus jeune. Après l'enregistrement, le couple attend sur un quai avec quelques centaines d'autres voyageurs alors que les organisateurs ont disparu... Le train entre en gare, les couples restent muets devant l'arrivée des wagons plombés... Le voyage dans les ténèbres ne fait que commencer...
« Un roman au-delà de l'aventure, de la télé réalité. Du tourisme noir et de la science-fiction qui se lit comme un thriller. »


***** Mémorial Tour, roman lauréat au Salon Livre Paris 2016 par le jury Amazon-Kindle KDP*****
Certains lecteurs me demandent ce qu'est le « tourisme noir ». Voici la définition : Le « tourisme noir » ou aussi appelé « tourisme de la désolation » consiste à visiter des sites où des horreurs, des catastrophes, des massacres ont eu lieu. Vous trouverez plusieurs articles sur ce sujet sur le blog de mon site : chrisimon.com

Ce qu'en pensent les lecteurs :
• « Un roman qui se lit comme on lit un thriller. »
• « J'ai tout lu, tout dévoré, impatient de savoir comment tout cela allait terminer. »
• « À lire pour affronter sa part d'ombre. »
• « Très bien écrit, le récit tient en haleine jusqu'au point final. »
• « Un livre audacieux, intelligent et sans concession »
• « Incroyable ce roman court qui se lit d'une traite. »
• « Parler de la Shoah est, forcément, dangereux, risqué. Pourtant, je trouve que Chris Simon a trouvé des mots justes, des personnages vrais et sincères. »
• « Un très bon Thriller. »
• « Un livre vraiment original, que je recommande. »

« Ça n'aurait jamais dû arriver. Et je ne veux pas dire par là le nombre de victimes, je veux dire la fabrication des cadavres. Inutile d'insister. Ça n'aurait jamais dû arriver. Il s'est passé là quelque chose dont plus personne ne peut se débarrasser. » Hannah Arendt